La Liberte d'expression encore et encore
Dans la foulée des révoltes arabes en 2011, les jeunes Syriens ont pu initier un mouvement de protestation en vue d’instaurer un régime démocratique en
Le Liban vient de franchir un nouveau pas sur le long chemin d’un meilleur respect des droits. En effet, Nidal Darwich et Khouloud Sukkariyeh, encouragés
La répression de l’Islam politique par des régimes nationalistes dictatoriaux a pris fin en 2011. La mouvance politique émanant des préceptes de l’Islam jaillit comme un acteur principal dans le nouveau paysage politique de la région arabe.
Des années durant, les régimes autocratiques arabes ont laissé des cicatrices indélébiles à tous les niveaux (politique, économique, social, culturel, écologique…).
Nous commémorons cette semaine le triste anniversaire de la répression sauvage d’août 2001. Dix ans après, il est désolant de réaliser que les choses n’ont pas vraiment changé en termes de libertés publiques.
Ca aurait pu avoir lieu n’importe quand entre 1990 et 2005: les organisateurs d’une exhibition photographique à Beyrouth décident de fermer boutique dix jours avant la fin prévue à cause de la censure. Mais l’incident a lieu en mai 2011.
Nul ne conteste le fait que le système politique libanais souffre de problèmes structurels. Mais la question qui se pose (ou plutôt s'impose) est de savoir si la stratégie employée par les
Written for "Tawareks" (The Lebanese Journal for Emergency Medicine)
Du fait d’un relâchement régional, le Libanais a le privilège de témoigner ces derniers mois d’une série d’arrangements politiques (pour la plupart absurdes) qui ont contribué à établir une sorte de stabilité relative.