La répression de l’Islam politique par des régimes nationalistes dictatoriaux a pris fin en 2011. La mouvance politique émanant des préceptes de l’Islam jaillit comme un acteur principal dans le nouveau paysage politique de la région arabe.
Des années durant, les régimes autocratiques arabes ont laissé des cicatrices indélébiles à tous les niveaux (politique, économique, social, culturel, écologique…).
Only three decades ago, the role of Non-Governmental Organizations (NGOs) in filling the gaps resulting from the public sector’s shortcomings was intensively debated in a context of extreme caution (by governmental stakeholders).
Nous commémorons cette semaine le triste anniversaire de la répression sauvage d’août 2001. Dix ans après, il est désolant de réaliser que les choses n’ont pas vraiment changé en termes de libertés publiques.
USIP’s Elie Abouaoun, based in the Institute’s Baghdad office, discusses the al-Sadr movement – and why it once again stands to be a destabilizing force in Iraq and region.
Ca aurait pu avoir lieu n’importe quand entre 1990 et 2005: les organisateurs d’une exhibition photographique à Beyrouth décident de fermer boutique dix jours avant la fin prévue à cause de la censure. Mais l’incident a lieu en mai 2011.
Nul ne conteste le fait que le système politique libanais souffre de problèmes structurels. Mais la question qui se pose (ou plutôt s'impose) est de savoir si la stratégie employée par les
This paper is not meant to be a thorough analysis or to bring answers to complex questions. It was written more as a food for thought about major and almost unprecedented political developments in the region.
Written for "Tawareks" (The Lebanese Journal for Emergency Medicine)